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Hommage à Jacques FOCCART

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  • Post category:Histoire
Souvenirs, souvenirs,
En l’honneur de tous ceux qui ont transmis à l’homme africain les valeurs républicaines de « Liberté – Egalité – Fraternité », ont apporté l’instruction et construit des écoles, des lycées, des universités ; transmis une langue à des peuples totalement désunis ; ont amélioré les techniques agricoles, développé la production, en leur permettant d’accéder au marché international et de ne plus subir de terribles famines ; ont bâti des structures financières, commerciales et industrielles , et amélioré le niveau de vie général des populations, aidant à la naissance d’une classe moyenne ; de bénéficier des progrès de la médecine moderne, limitant le nombre des décès d’enfants et d’adultes, avec pour corollaire une augmentation exponentielle de leur démographie ; ont tracé des routes, construit des ponts, développé les réseaux ferrés, les aéroports pour faciliter le transport des hommes et des marchandises, s’ouvrir au tourisme mondial ; ont fait connaître la culture africaine, l’ont révélée au monde, et permis à ses peintres – sculpteurs – poètes – écrivains – musiciens – chanteurs de s’affirmer au plus haut rang mondial ;
Alors, à tous les activistes professionnels racialistes – décoloniaux – indigénistes qui vivent en France et ont pu, grâce à ses bienfaits, développer leurs qualités et leurs talents et accéder à la gloire et à la fortune financière,  renforcés par les minorités sexuelles et raciales constitutives de l’électorat urbain de « bobos » diplômés, de jeunes en révolte et de militantes féministes comme Sardine RUISSEAU, les pseudo-écologistes de gauche, les députés trotkistes-lambertiste de LA FRANCE INSOUMISE,
Souvenons-nous de ce temps de notre histoire, que l’on peut retrouver dans des films tels « LA VICTOIRE EN CHANTANT «  de Jean-Jacques ANNAUD, relatif au déclenchement de la Grande Guerre 14-18, vécue et ressentie à la frontière entre l’Afrique Equatoriale Française et le CAMEROUN Allemand  ; ou bien,  « COUP DE TORCHON » de Bertrand Tavernier, trotkiste-lambertiste militant, mais cinéaste de grande talent !

En sus des films, la musique peut aussi nous restituer l’air du temps :

En 1927, MILTON interprétait avec grand succès, sa fameuse chanson « La fille du Bédouin » très rythmée qui évoquait, dans des termes qui seraient aujourd’hui condamnés lourdement car jugés triviaux et attentatoires à la dignité de la femme !
Alors qu’en 1976, plein d’ironie et de provocation pour la génération post-soixante-huitarde triomphante, qui impose partout ses valeurs morales (notamment la libération sexuelle, qui voit les « pédophiles » s’exhiber et faire la promotion de leurs pratiques sur les chaînes de service public aux heures de grande écoute), on se doit lorsque l’on est « bourgeois bohème des beaux quartiers » d’être anticolonialiste et de condamner la politique de la France, comme d’exhiber fièrement dans son salon lors des réceptions mondaines, tel un animal dans un zoo,  « son réfugié chilien », Michel SARDOU prend le contrepied, compose et interprète « Le temps des Colonies ».