You are currently viewing Bozo, l’art d’être heureux en politique …
Il synthétise la sagesse asiatique et la philosophie d'Henri Queille

Bozo, l’art d’être heureux en politique …

chaban
Jacques Chaban-Delmas

Souvenirs, souvenirs !
En 1969, l’épopée gaulliste touchait à son terme. Au nombre des héritiers naturels du Général pouvant lui succéder, l’emblématique Président de l’Assemblée Nationale, Jacques Chaban-Delmas (1915-2000) ;  compagnon de la Libération, il fut un Résistant dont le rôle fut central dans l’organisation de la Résistance, gaulliste indiscutable et loyal, qui fut élevé au grade de Général de Brigade alors qu’il était encore très jeune. Il fut « le » Maire emblématique de Bordeaux de la Libération jusqu’à son retrait, comme il l’avait décidé, lorsqu’il atteint l’âge de 80 ans en 1995 et demeure toujours dans l’histoire le très charismatique Président de l’Assemblée Nationale, poste qu’il a marqué à jamais de son empreinte.

 

L'art d'être heureux en politique
Un constat courageux et sans concession : passeport pour un nouveau monde

En 1969 donc, un livre est publié sur l’homme et sa carrière ; il porte le titre de « CHABAN DELMAS, l’ART D’ETRE HEUREUX EN POLITIQUE ». Il sera fidèle à Georges POMPIDOU, Président de 1969 à 1974, dont il fut le Premier Ministre.  Mais cela est une autre histoire, tout à fait respectable et digne celle-là !

Pendant la « pandémie », l’ineffable BOZO, demeura retranché en son Hôtel particulier parisien, entouré de l’affection et des prévenances (surjouées ou non pour les médias de la part de Julie ?) et de son chien ; avalant la crème au chocolat spéciale conçue pour lui par le cuisinier du Palais de l’Elysée ; du fait de sa responsabilité criminelle (gouverner, c’est prévoir !) dans l’absence de masques de protection que son prédécesseur avait faits stocker au nombre d’1 milliard 700 millions pour faire face à une éventuelle pandémie et que lui-même avait décidé de faire détruire sans les renouveler, il valait effectivement mieux qu’il se taise quelque temps ! Malgré le sacrifice que cela représentait pour lui, intoxiqué aux médias, il ne pouvait agir autrement.
Tant sont forts les filtres trotskystes mis en place pour ne délivrer au public que des informations aseptisées orientées à sens unique, aucun média progressiste, surtout pas MEDIAPART, ou des institutions officielles telles le Parquet National Financier (ou tout autre juridiction d’exception fondée sous son règne pour abattre ses adversaires politiques) n’ont relevé cette affaire à l’issue fatale pour des dizaines de milliers de français. Mais puisqu’il a repris désormais ses activités de campagne pour les présidentielles 2022, sa soif de pouvoir étant intacte, de même que sa volonté de vengeance contre son prédécesseur (2007-2012) et son successeur « Tu quoque, mi filii » (2017-2022), posons-nous la question de savoir quelles manœuvres machiavéliques a ourdies durant son confinement le « Président candidat » pour assouvir ses addictions, afin d’être prêt dès qu’il pourrait se lancer à nouveau sur la voie royale qui doit le ramener au pouvoir. Une solution, classique,  est bien entendu de faire écrire à sa gloire un ouvrage de campagne par son ami Laurent Joffrin, milliardaire héritier des Editions François Beauval et à temps perdu Journaliste – ex-Directeur du journal LIBERATION – qui tente désormais de rassembler politiquement le peu qui reste de fidèles de la « social-démocratie » autour de sa bannière, afin de promouvoir la candidature du Clown.
Voici le courrier reçu de la part d’un ami, qui en fait le compte-rendu :

pétroleuses en campagne
Anne HIDALGO, Maire de Paris et Christiane TAUBIRA, icône progressiste et LGBT, Maître maçon et Protectrice du Syndicat de la Magistrature, en campagne électorale à LYON pour soutenir leur protégée, Najat VALLAUD-BELKACEM

Vous recherchez une idée originale pour faire plaisir à un proche ? Ne manquez pas le dernier ouvrage de l’ancien et futur Président de la République François Hollande, écrit par son « nègre » de service,  Laurent Joffrin (aucun risque qu’il interprète mal l’expression puisque en sus d’être socialiste, il est blanc et milliardaire par héritage !) où il fait part de sa précieuse expérience de Président de la République, après un quinquennat magique où l’Etat a été ridiculisé, bafoué, humilié et vendu par tranches aux lobbies mafieux trotskistes et LGBTQ+, précipitant la Nation dans la spirale infernale de l’abaissement et du déclassement !
En avant première, il révèle les thèmes majeurs qui marqueront sa campagne électorale 2022 ; ils s’inspirent de la « sagesse des trois singes asiatiques » : à l’exemple du singe MIZARU,  fermer les yeux pour ne pas voir les problèmes ; à l’exemple du singe KIKAZARU, se boucher les oreilles pour ne rien entendre ; et comme le singe IWAZARU, placer ses mains devant sa bouche pour demeurer muet et ne pas dire ce qu’il ne faut pas dire !


Car, en zélateur fidèle de la pensée du grand philosophe corrézien Henri Queille, il a fait sienne la formule, déjà appliquée par Jacques Chirac : « Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout ! ».
Conformément à la doxa progressiste, la campagne sera principalement orientée en direction des électeurs musulmans originaires du Maghreb et de l’Afrique sub-saharienne, où se situent les principales réserves de voix progressistes ; c’est pourquoi, les remarquables formules utilisées depuis les attentats islamistes constitueront le fond sonore joyeux de la future campagne : « C’PASLISLAM » et « PADAMALGAM » qui rassembleront les gens de progrès autour du candidat.
A force de les entendre serinées à l’infini, et repris dans tous les médias, tels des « mantras », les « sans dents » finiront bien par juger crédibles ces suggestions hypnotiques. En cas de succès, ils peuvent même espérer la présence de Camélia JORDANA ALIOUANE et Yannick NOAH pour animer, comme en 2012, la célébration de la victoire : c’est dire !
Un ouvrage joyeux, plein de fadaises et billevesées, chargé de nuages sombres des orages à venir, que vous ne manquerez pas d’infliger aux personnes que vous n’appréciez pas !

ormesson

C’est quand même un phénomène étonnant, Hollande. […] C’est un homme qui est double : il se regarde sans cesse faire. Et qu’est-ce qu’il fait ? Pas grand-chose. Il passe son temps à commenter ce qu’il a fait ou ce qu’il n’a pas fait.

Jean d’Ormesson 1925-2017 écrivain et philosophe

 

Feerie 640
Narcisse incarné du parvenu politique, BOZO est tellement imbu de sa personne
qu’il est totalement insensible et imperméable au sort et aux malheurs
de ses contemporains les « sans dents » : mépris, arrogance, morgue, dédain.
La quintessence du mépris de classe