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De la planche pourrie centriste : comment en est-on arrivé là ? Mais l’histoire nous l’a dit, Mr BAYROU !

Entre les deux tours des élections présidentielles 2012, il a poignardé dans le dos son ennemi mortel et s’est engagé aux côtés de BOZZO-le-CLOWN pour soutenir une politique rassemblant centristes (du moins ce qu’il en reste !) et socialistes dans un fond commun de renoncement, de recul, de lâcheté qui nous a précipité dans des sables mouvants qui ont englouti notre Nation, participant à l’anéantissement de ce qui constituait nos valeurs communes, notre unicité et notre force depuis 1500 ans.

Il n’avait qu’un seul but, une seule envie : que le CLOWN le nomme Premier Ministre après que se soient évaporés les délires chimériques du discours de Villepinte !

Il s’est prostitué, a supplié, mais n’a pas obtenu gain de cause.

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Alors, il s’est encore renié !

Pour être élu Maire de PAU, il est redevenu de droite et s’est engagé à quitter le premier plan de la scène médiatique pour s’occuper des affaires béarnaises. Contre l’avis des militants, LES REPUBLICAINS ont demandé à leur candidat, de se retirer pour laisser BAYROU, affronter seul et battre avec leurs voix le sortant socialiste ! Sitôt élu, BAYROU se précipitait sur tous les plateaux de télévision pour poursuivre son combat antisarkozyste, ne renonçant jamais à son rêve d’être élu Président de la République avec une majorité mollasso-socialiste pour le soutenir à ne rien faire, puisque seule l’identité heureuse et l’absence de toute contestation dans le pays constituent le « corpus » idéologique de la politique qu’il entend mener, comme CHIRAC l’avait fait pendant douze trop longues années !
Depuis, BAYROU a détruit son parti, le MODEM, qui ne survit qu’avec un noyau microscopique de militants rassemblés autour de lui et son bras droit Marielle LEBEL de SARNEZ ; même des élus aussi charismatiques et fiables que Jean LASSALLE, le berger béarnais, excédés par ses trahisons répétées, et sa totale incompréhension des vœux des citoyens français, ont rompu et s’opposent désormais à lui, ses ambitions et sa soif de pouvoir.
Son dernier coup de Jarnac : soutenir JUPPE, la tête de turc des militants LES REPUBLICAINS, dit « COUILLE MOLLE », auquel le lie une admiration commune pour la totale inaction politique de Jacques CHIRAC (premier choix de François MITTERRAND de JARNAC aux élection de 1995) dans cette fascination pour une politique qui ne fait pas de vague en s’abstenant de prendre la moindre décision pour ne heurter personne, une France bleu-blanc-beur au service du « vivre ensemble »,  de « l’identité heureuse », de la « bien-pensance » et de la « pensée unique ».

De nouvelles trahisons en perspective en tout cas !

Mais s’il a oublié son serment allégeance à BOZZO-le-CLOWN le 6 mai 2012, des preuves demeurent ! Elles ont le mérite de démontrer à quel point il se trompait sur toute la ligne alors qu’étaient parfaitement adaptés aux cinq ans à venir les valeurs défendues par son ennemi intime.