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Et la terre déroba sous nos pas … le pays, hilare et inconscient, se réjouissait sottement !

En ce triste jour du 1 décembre 2016 tomba dans l’après-midi l’avis d’une énième communication du clown BOZZO depuis son Palais de l’Elysée lors des journaux d’information de 20:00 !

La ville bruissait des bruits sur les épouvantables résultats des sondages effectués sur fonds publics depuis la publication par les journalistes du MONDE, DAVET et LHOMME, qui vivaient depuis son élection dans l’intimité du Chef de l’Etat et de ses maîtresses, de leur livre « UN PRESIDENT NE DEVRAIT PAS DIRE CA » dont les effets parmi les fidèles électeurs de la socialie-bobo-gay étaient dévastateurs.
On lui prédisait une déroute totale aux primaires organisées par le Parti Socialiste, avec un score lamentable le reléguant en cinquième et dernière position, s’il avait l’audace de se présenter !

A 18 heures précises, pour bien marquer les temps nouveaux dans l’alliance renouvelée entre le sabre et le goupillon,  depuis que « l’ennemi laïc de la finance », « le bouffeur enragé de curés » avait fait le déplacement de CANOSSA pour adjurer le Pape de sa dévotion et de sa soumission à l’église catholique romaine apostolique et universelle, (ainsi qu’aux FEMENS – ACT’UP et Pierre BERGE), les cloches de toutes les églises de France sonnèrent le tocsin pour souligner l’importance de l’événement.
Mais depuis que le Premier Ministre franc-maçon barcelonais usait à l’envie de cette grossière ficelle pour rappeler le risque d’anéantissement et de disparition encouru par le pays en cas de vote contraire aux intérêts socialistes, plus personne ne prêtait la moindre attention à ces élucubrations systématiques. Et c’est donc un pays fort calme qui entendit sans le croire la déclaration suivante :

Nous étions donc rassurés quant à l’avenir financier du futur retraité ; outre ceux de son coiffeur, de sa maquilleuse et de son cireur de pompes largement payés sur fonds publics, il avait su protéger au-delà du raisonnable ses propres intérêts avec un net garanti de 36.000 € mensuels !

Bien sûr, BOZZO ne serait pas candidat en 2017 puisque le résultat était couru d’avance ; en attendant la fin de son mandat, il gouvernerait comme il l’avait toujours fait depuis 2012 :  » Il y a ceux qui n’attendent plus rien. Moi, je fais en sorte de leur apporter ce qu’ils attendent « 
Julie GAYET, la POMPADOUR de la rue du Cirque,
productrice cinématographique bénie du CENTRE NATIONAL DU CINEMA dont elle dilapidait les fonds dans le financement d’œuvres d’une médiocrité désolante (mais elle avait fait nommer la directrice générale déléguée de cet établissement public, sa grande copine Audrey AZOULAY -fille d’un Ministre d’Etat marocain- au poste envié de Ministre de la Culture en faisant éjecter Fleur PELLERIN tant elle était satisfaite de ses services et de la manière dont elle était privilégiée ! D’ailleurs, BOZZO, cette marionnette insipide jamais avare d’une « blagounette », n’avait-il pas affirmé : « Julie essaye d’avoir sa vie ce qui n’est pas facile ! Elle n’a jamais bénéficié d’avantages pour la production de ses films ! ». Ce qui, dans la bouche de ce menteur impénitent, constituait un aveu évident !),
rôdait déjà le discours lénifiant qui serait le sien pour la reconquête du trône en 2022 :
A toute question posée sur l’humour légendaire de BOZZO, elle devrait préciser : « Mais ce n’est pas qu’une réputation, son humour est légendaire ! C’est vraiment quelqu’un de très très drôle et tous les gens qui le côtoient vous le diront. Dans la vie, il me fait beaucoup rire et c’est très important pour moi ! »; « d’ailleurs, depuis nos rendez-vous discrets de la rue du Cirque, je l’appelle dans l’intimité BOZZO mon CLOWN »
et sur le retour en politique du FLANBY MOU pour les élections 2022, elle répondrait sans sourire :
« Ce qui est important aujourd’hui, et je le vois quand on sort, c’est qu’il y a une vraie attente, beaucoup de gens espèrent son retour ».
Donc, le plan de communication pour la reconquête de 2022 est tracé, déja en-cours d’exécution même !

Mais en attendant, après l’annonce de cette « renonciation »,  forcée, on voit sur les Champs-Elysées les arbres reverdir et des centaines de milliers de personnes se rassembler pour clamer leur bonheur et leur soulagement, avec des drapeaux bleu-blanc-rouge, au son des klaxons de voiture, comme ce 26 août 1944 lorsque le Gal de Gaulle les avait descendus pour la LIBERATION de PARIS ou ce 12 juillet 1998 lorsque 1,5 million de personnes avaient spontanément fêté la victoire de la France en finale de la Coupe du Monde.

Et parallèlement se met en marche vers le siège de LA REPUBLIQUE EN MARCHE, pour offrir leur service au SUCCESSEUR – faire allégeance – et lui rendre hommage, la cohorte lamentable de tous ceux qui, ce matin encore, tenaient pour certaine la réélection de leur CLOWN, les vedettes de la socialie-bobo-gay qui pendant cinq ans avaient profité d’incroyables prébendes, les Pierre BERGE, Frédéric MITTERRAND, Jack LANG, Daniel COHN-BENDIT, l’urgentiste syndicaliste professionnel Patrick PELOUX, les milliardaires « rastignac » Xavier NIEL, Matthieu PIGASSE, Patrick DRAHI, le monde de la « culture » (comme Olivier PY ou Jean-Michel RIBES qui lui doivent leur poste de directeur) et des intermittents du spectacle protégés de La Pompadour, et tous ces journalistes socialistes félons ou comiques troupiers acides qui depuis des années promeuvent quotidiennement sur les ondes publiques aux frais du contribuable le régime socialiste, les économistes « je sais tout » professionnels Jacques ATTALI et Alain MINC, le troupeau désolant des serviles laquais prêts à n’importe quelle abjuration ou trahison (oui, c’est vrai, PARIS vaut bien une messe !) qui leur assurerait la poursuite de leurs avantages …
Quel dommage que n’existe pas aujourd’hui d’écrivain aussi admirable que CHATAUBRIAND décrivant dans ses « MEMOIRES d’OUTRE TOMBE », après la chute de NAPOLEON à WATERLOO, la visite que firent TALLEYRAND et FOUCHE au roi LOUIS XVIII, frère de LOUIS XVI, rétabli sur le trône par les armées étrangères liguées contre la FRANCE :
« Je me rendis chez Sa Majesté : introduit dans une des chambres qui précédaient celle du roi, je ne trouvai personne ; je m’assis dans un coin et j’attendis. Tout à coup une porte s’ouvre : entre silencieusement le vice appuyé sur le bras du crime, M. de Talleyrand marchant soutenu par M. Fouché ; la vision infernale passe lentement devant moi, pénètre dans le cabinet du roi et disparaît. Fouché venait jurer foi et hommage à son seigneur ; le féal régicide, à genoux, mit les mains qui firent tomber la tête de Louis XVI entre les mains du frère du roi martyr ; l’évêque apostat fut caution du serment. »

Les temps changent ! Et pourtant, la noirceur humaine, la bassesse de l’âme et la lâcheté sont valeurs universelles dans le temps et l’espace au fil des siècles !