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Hagiographe, thuriféraire, panégyriste, lèche-cul ou valets d’écurie chez AUGIAS ?

Le capétien antisémite Louis IX dut beaucoup à l’ouvrage que son hagiographe, son compagnon Jean-de-Joinville, rédigea pour le Tribunal écclésiastique qui instruisait son procès en sainteté, « Vie de Saint-Louis », pour rejoindre le panthéon des Elus catholiques canonisés.

Phlippe de Commynes, dans ses « Mémoires », rendit le même service au roi Louis XI, sadique détesté par ses contemporains mais élevé au rang des plus grands rois par ce récit.

Le Général-de-Gaulle connut en Alain PEYREFITTE le rapporteur fidèle de ses pensées et actions, qui publia peu avant sa mort sous le titre « C’ETAIT DE GAULLE »,  un livre de souvenirs dont est extrait le sublime
« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! » tellement haï par la bobocratie triomphante

MITTERRAND lui-même eut droit au VERBATIM de son laquais, arriviste pressé, Jacques ATTALI, dont le prestige fut terni après qu’il eut été attaqué en justice pour plagiat par de nombreux auteurs et historiens (dont Elie Wiesel) ! Ainsi va la République judéo-maçonnique !

Alors BOZZO qui sut dès le début de son quinquennat qu’il constituerait une des plus grandes catastrophes connues par le pays, dont aucun historien sérieux – même le plus malhonnête – ne pourrait écrire le panégyrique, opta, comme Jules César dictant la Guerre des Gaules à son scribe, de le conter à sa façon. Pour cela, il avait à sa disposition les propriétaires de tous la presse de gauche en faillite, ces « Rastignac » mafieux et intéressés (BERGE-NIEL-PIGASSE-DRAHI) qui l’avaient reprise à la condition qu’elle ne leur coûterait rien (puisqu’entièrement payée par les subventions publiques versées par le Ministère de la Culture) et leur rapporterait beaucoup sous forme des avantages prohibitifs aux règles de la concurrence commerciale qu’elle leur garantissait face à la concurrence dans leurs affaires privées ; et les journalistes de cette presse, entièrement soumis et dévoués au pouvoir en place, afin de continuer à bénéficier des niches fiscales fabuleuses que leur garantit le parti socialiste en défraiement de leur soumission permanente. BOZZO, puisqu’il n’avait pas à se préoccuper de politique, entièrement prise et charge et dirigée par le lobby judéo-maçonnique dont son premier ministre est le représentant le plus illustre ; ni de politique culturelle comme l’avait fait MITTERRAND  puisqu’entièrement déléguée à ses favorites, put donc tout à loisir dicter sa légende en recevant dans des proportions à peine croyables tous ces journalistes qui avaient leurs bureaux à l’Elysée même, et porte-ouverte au bureau présidentiel !

Quatre ouvrages panégyriques précèdent donc ce mois-ci la déclaration de candidature du CLOWN ; mais l’ouvrage le plus sincère et le plus exact du quinquennat reste quand même à ce jour le « MERCI POUR CE MOMENT »  de Valérie TRIERWEILER, favorite cocue et trahie, qui a su parler de l’intimité et des pensées creuses et méprisantes pour les classes moyennes et les retraités (sans dents, sous chiens galeux) de son ex-compagnon (qui à ce jour a quand même un montant de retraite nette assuré de 38.600 € mensuels nets)