Rentre ici, clown Bozzo, avec ton sinistre cortège de voleurs, de bandits, de pédophiles et de trotkistes ripous !

Panthéon
Au Panthéon, c’est la fête à Bozzo

Grandiose et spectaculaire représentation théâtrale au Panthéon, mise en scène par le Ministère de la Propagande pour célébrer la gloire et « in fine » favoriser la réélection de Flanby en 2017 : il fallait à la fois combiner le génie franc-maçon et la mystique juive pour en saisir la portée historique. Sur le balcon de l’histoire, présidaient les maçons au rang des plus sectaires du GODF : Flanby et Jean Zay encadraient leur maître, Robespierre, dont le visage avait été ressuscité à partir de son masque funéraire retouché avec les plus récentes techniques de police scientifique.
Le Ministère de la propagande avait inlassablement rappelé, répété et sensibilisé les journalistes sur l’importance du discours qui allait être déclamé par Bozzo en personne, rédigé par ses plumes trotskistes Edwin Plénel (Médiapart) et Roland Joffrin (Libération) ; car la vedette, c’était bien Bozzo et son double, le coq, « Moi Je, motivé et combatif » qu’il tenait en laisse. Les récipiendaires, il s’en foutait un peu : d’abord, les familles des deux résistantes honorées avaient refusé que leur corps ne quitte le cimetière où elles reposaient parmi leurs proches ; donc les cercueils étaient vides.
Quant à Pierre Brossolette, vu la mort qu’il s’était infligée avec courage et honneur, il n’en restait pas grand chose ! La vedette américaine, c’était Jean Zay : les esprits chagrins arguent qu’il n’avait jamais été résistant mais que ce sont les instances maçonniques qui ont imposé sa présence. D’autre prétendent qu’il a été élu par BOZZO en raison de leur étonnante ressemblance physique et de leur commune banalité, qui les rend si semblables ! Et s’il fut fusillé par la Milice, ce fut après avoir été condamné pour « désertion face à l’ennemi par temps de guerre » et non pas pour un quelconque acte de courage ou de résistance. Mais Juif, franc-maçon, laïcard, christianophobe, sectaire, quelle carte de visite et quelle gloire pour un socialiste ; d’autant plus que son acte le plus glorieux est d’avoir rédigé en 1924 un poème, dénommé « Le drapeau », où il qualifie le drapeau national, d’ « ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Certains se lamentent que le Panthéon soit désormais mué en dépotoir !

Le socialisme est grand, Bozzo est son prophète !<

Et pour l’honneur de ce pays, déshonoré et ridiculisé par l’indignité de la conduite d’un histrion élu Chef de l’Etat, ses promesses suicidaires, le clivage permanent organisé autour des questions sociétales et son soutien à des groupes communautaristes d’agitation-provocation tels ACT-UP et les FEMENS et leurs agressions antichrétiennes, ses virages politiques pour faire maintenant l’exact contraire de ses engagements, son orgueil insensé et sa fatuité affligeante, la permanente manipulation mentale exercée sur la population par les journaux subventionnés du groupe BNP et les groupes audiovisuels de service public et du groupe Canal Plus qui illustrent son mépris des « sans dents »,   un court extrait du discours prononcé par André Malraux, Écrivain, Grand Résistant, Ministre de la Culture du Général-de-Gaulle, le 19 décembre 1964 lors du transfert par un froid glacial des cendres de Jean Moulin au Panthéon. Pour lire l’intégralité du discours