L’assassinat du Père Noël

Parvenir à fusionner dans le cadre d’une campagne terroriste en faveur de l’éradication de la fête chrétienne de Noël dans les états démocratiques européens des mouvements communautaires aussi sectaires que le lobby pour « le mariage pour tous et la libre pédophilie »,  financièrement lié, dirigé et instrumentalisé par Pierre Bergé (la morale chrétienne les dérange !), la faction la plus ultra des christianophobes du Grand Orient de France en la personne de son représentant le plus ultra, Vincent Peillon, agissant pour le compte de Flanby la Haine (la France doit être déchristianisée et la laïcité imposée comme religion d’Etat), et une bande de prostituées ukrainiennes paumées prétendument ultra-féministes durement dressées par un cosaque assujetti à la mafia des pays de l’est, mais entretenues et agissant pour le compte de l’état français, voila qui n’est pas commun. Comme d’habitude dans les mouvements factieux, les têtes pensantes restent cachées, quitte si cela tourne mal à condamner les excès qu’ils avaient initiés ; ce sont donc les folles hystériques des « femens », soumises à ces messieurs,  qui allèrent dans les églises (jamais dans les mosquées, les temples ou les synagogues car les réactions peuvent y être violentes) perturber seins nus les messes de Noël.
D’abord, la prostituée Eloïse Bouton vint profaner l’autel de l’église de la Madeleine en mimant un avortement et en urinant au pied de l’autel ; nous sommes en France, cela est d’un commun ma chère ! donc aucune réaction des autorités, engagées dans un combat autrement important pour servir et apaiser la LICRA en persécutant son ennemi mortel DIEUDONNE (interdire à un comique d’exercer son métier, c’est toujours un signe de vitalité démocratique et autrement plus facile que de faire baisser le chômage ou contrôler l’insécurité !), sinon une franche approbation et un tacite soutien … Puis le 25/12, la charismatique Inna Sevchenko, leader du mouvement et glorieuse Marianne de la République Française dont le portrait s’affiche sur les timbres que Flanby a voulu témoignages de son quinquennat sous le nom de « Marianne de la Jeunesse », s’en vint au Vatican s’attaquer au seul adversaire digne d’elle, le Pape ; elle ne put investir une Basilique Saint-Pierre bien trop vaste pour elle et dut se satisfaire de quelques photographies de ses amis journalistes la montrant poursuivie par deux pauvres carabinieri, puis les griffant pour les punir de l’avoir rejointe malgré leur âge avancé ; au même moment, une militante d’on ne sait trop quelle cause, à genoux devant l’église San Manuel et San Benito à Madrid se faisait déverser sur ses bras écartelés du sang de veau ! Mais le summum fut atteint dans la sublime et vénérable cathédrale de Cologne où une « femen » surgit en courant seins nus de la foule des fidèles et se propulsa d’un saut félin sur l’autel où était célébrée la messe, exposant à la foule les lettres inscrites sur son torse et son ventre, devise de Pierre Bergé : « I’m God ». La manière dont elle fut expulsée de la Cathédrale, traînée sur les marches de marbre, lui rappelèrent cependant que l’on était en Allemagne et non plus dans leur jardin d’Eden français entretenu par la Mairie de Paris !
Aux promoteurs intellectuels de ces actions d’éclat, Pierre Bergé et Vincent Peillon, rappelons cependant qu’il ne suffira pas le jour où l’une de ces jeunes paumées perdra accidentellement la vie dans l’une de ses actions insensées de dénoncer « les fascistes, homophobes, racistes et antisémites » ; il faudra aussi qu’ils prennent leur part de responsabilité et assument avec courage (pour une fois) les conséquences de leurs actes criminels et de leur lâcheté.