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17 mai : Journée mondiale contre l’homophobie !

Feu le bourreau de Marrakech, Pierre Bergé, militait, – entre autres croisades contre le « telethon, pour le suprémacisme pédophile et LGBTQ+ (novlangue socialiste !), l’anéantissement de la civilisation occidentale et sa morale judéo-chrétienne -,  la suppression des fêtes et des jours fériés chrétiens du calendrier ! Mais la nature ayant horreur du vide, avant qu’une telle éradication ne soit réalisée, les progressistes du « camp du bien » les avaient déjà remplacés par des fêtes nommées « journées internationales ». A ce titre, nous avons déjà, au rang des évènements majeurs de la planète, à fêter la « journée mondiale du popcorn » ou la « journée mondiale du nutella » ; grâce à l’action de l’activiste LGBT français Louis-Georges TIN (il préside actuellement le CRAN), nous avons depuis 2005, en mémoire des 15 ans de la décision de l’OMS de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale, à célébrer la « journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie ». Portée et défendue par les gouvernements français, de droite et de gauche,  qui font figure d’avant-garde du progressisme militant en cette matière, le principe est adopté officiellement dans plus de soixante états, mais « le machin qu’on appelle l’ONU ! » discute toujours de son inscription à son prestigieux calendrier.

Comme la « gay pride », cette « journée internationale » est supposée festive et heureuse, réjouissante pour tous les bien-pensants ; outre qu’elle soit parée d’un label international, elle marque à jamais en France l’inoubliable « 17 mai 2013 », lorsque, après avoir reçu l’aval du Conseil Constitutionnel, la loi légalisant le « mariage homosexuel » fut promulguée par le Président de la République, Bozo-le-Clown, qui toucha ce jour-là les étoiles de la gloire éternelle et s’éleva au rang des « géants » de l’humanité,  qui lui ouvrait devant l’histoire les portes du Panthéon aux côtés des grandes légendes de la République..
Bien sûr, il avait déjà fait l’objet d’une proposition pour le Prix Nobel d’Economie pour sa démonstration implacable du bien-fondé de « la courbe de Laffer », l’économiste américain ayant théorisé le postulat de : « trop d’impôt tue l’impôt ». En augmentant dès sa prise de fonction les grands impôts nationaux (IR, IS, ISF en 2012, puis TVA en 2013) d’un montant nominal de 30 milliards d’Euros, le grand clown –  provoquait  un effondrement des recettes fiscales de 10 milliards –  et apportait, en accablant les contribuables français,  la preuve pratique irréfutable qui manquait aux théories de l’économiste.
Mais en ce 17 mai 2013, ce n’est pas le Prix Nobel d’Economie que Jack Lang, Pierre Bergé et Gabriel Matzneff, soutenus par toute la camérilla hystérique des activistes  LGBT et pédophiles décernaient  à leur homme de paille, mais bel et bien le Prix Nobel de la Paix qui se devait d’honorer leur grande marionnette !
Sept ans après, que reste-t-il de ces promesses, de cette ivresse doublée d’une vague d’enthousiasme qui transporta les médias jusqu’à Montpellier pour honorer le premier mariage gay, en la prestigieuse présence d’une Najat VALLAUD-BELKACEM qui avait abandonné pour l’occasion voile islamique et soumission pour une magnifique mini-jupe incarnat ; bien, peu de chose semble-t-il : le Clown BOZO est cloîtré chez lui, un masque FFP2 sur le visage et un entonnoir retourné sur la tête ! Après la disparition du financier qui avait acheté et payé le « mariage sur tous » rubis sur l’ongle, aucun de ses amis ne l’a appelé pour célébrer l’événement : Christiane TAUBIRA a lancé sa campagne pour la présidentielle 2022, de même que la mère de ses quatre enfants qui ne lui fera aucun cadeau.  Et Jack Lang, ultime représentant du tristement fameux groupe « de Marrakech » – « mannequin » vedette du grand couturier SMALTO et Président très chèrement appointé de l’Institut du Monde Arabe, songe qu’à plus de 80 ans le temps est peut-être venu pour lui d’affronter son destin ?
Alors, « in mémoriam », un souvenir des temps heureux dans le jardin de la Villa Majorelle à Marrakech où furent perpétrées, dans l’indifférence médiatique et judiciaire générales, tant de souillures contre l’innocence de  l’enfance !

Le temps heureux à la Villa Majorelle de Marrakech