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Pour Amélie Granville, entrevue à « La Plume Bleue »

Deux jours d’angoisse insoutenable qui accélère le cœur et oppresse l’esprit de tous les dévots et fidèles venus, en pieuse procession, des quatre coins de l’Univers pour obtenir une dédicace des « LEÇONS DU POUVOIR », la fameuse « bible selon Bozzo », le « Verbe » incarné du clown éthéré, ouvrage de commande du très médiatique Roland JOFFRIN publié sous le nom d’emprunt de François HOLLANDE.

Un ouvrage admirable, que personne ne lit d’ailleurs, mais qui dédicacé par l’auteur lui-même, est censé prendre une valeur symbolique dont seule l’histoire appréciera le montant à l’aune de son jugement impitoyable.

Deux jours interminables, sans qu’il fasse le « buzz » dans les journaux, sans que les médias n’évoquent sa passion pour sa favorite Julie GAYET où son intérêt récent pour la chasse, la pêche, le football, Brigitte Bardot – la corrida et les animaux à plumes ou à poils, tout ce que vous voudrez si cela peut le rendre sympathique et populaire  !

Débarquement en Normandie pour le « Bozzo Circus »

Et puis la délivrance enfin en milieu de semaine, avec de sibyllins articles dénonçant que la folle passion amoureuse de la belle Julie pour le Don Juan de la « rue du Cirque », le motard passionné qui faisait servir pains aux chocolat et petit-déjeuner à la Belle par les services officiels du GROUPE de SECURITE de la PRESIDENCE de la REPUBLIQUE, ne serait que mise en scène médiatique et tactique politique dans le cadre du plan de bataille de reconquête mené par FLANBY pour sa revanche et sa vengeance ! Ces informations, publiées dans ELLE et GALA  lors d’une interview accordée par Serge RAFFY – Rédacteur en Chef du NOUVEL OBSERVATEUR –  et auteur d’un livre en 2012 : « Le Président : François Hollande, Itinéraire secret » laisseraient pantois (vu la droiture et l’honnêteté supposée du personnage politique) si elles n’émanaient d’un tel spécialiste reconnu.

La Marquise de Pompadour

Rentrée riche en émotions pour le couple, puisqu’un quotidien indien : « The Indian Express » écrit que La POMPADOUR apparaît, à son corps défendant, dans un scandale financier lié à la vente de 36 RAFALE de DASSAULT à la République Indienne, contrat signé lors du voyage de BOZZO-le-CLOWN dans ce pays en 2016 : le principal bénéficiaire indien de ce marché, un milliardaire du nom de Anil AMBANI (lié au Premier Ministre indien) aurait financé via sa société « Reliance Entertainment » le film coproduit par Julie GAYET sous le nom de « TOUT LA HAUT », avec Kev Adams et Vincent Elbaz ! 
Mais rassurons nous : ce n’est pas le « Parquet National Financier » avec ses Juges du Syndicat de la Magistrature, crée par FLANBY en 2013 pour neutraliser ses adversaires de droite, qui se saisira de cette affaire qui ne met pas en cause de membres des partis politiques sur lesquels il a compétence « rationae personae »  ; et ce n’est pas la Presse Libre de Gauche (Médiapart – le Canard Enchaîné – le Monde – Libération et les journaux des groupes BERGE-NIEL-PIGASSE ou DRAHI) qui poursuivra des investigations poussées dans ce domaine, comme elle le fait lorsque l’homme à abattre se nomme Nicolas SARKOZY ou François FILLON !

Et puis, dans une de ses déclarations enflammées, BOZZO n’a-t-il pas proclamé de sa bien-aimée dans la Presse qui lui est dévouée :« Julie essaye d’avoir sa vie ce qui n’est pas facile ; elle n’a jamais bénéficié d’avantages pour la production de ses films ! » ; puisqu’il l’affirme !

Non, rien ne pourra ralentir FLANBY dans le « blitzkrieg » impitoyable qu’il mène pour reconquérir son trône ; et comme dans toutes les offensives militaires de cette nature, c’est la puissance de toutes ses ressources qu’il engage initialement dans cette manoeuvre pour prendre l’avantage qui lui assurera la victoire en pays hostile sur l’ennemi français.

Le Cacique Raoni rend hommage au super-héros « Bougie Verte », sauveur de la planète en péril

D’abord, pour entretenir sa légende fielleuse et malsaine, il tint à s’épancher sur un homme qui avait organisé pour lui la fameuse COP 21 et lui avait offert le concours, pour une photographie de légende dans la cour de l’Elysée, avec l’ALLIANCE DES GARDIENS DE LA MÈRE NATURE, dont les leaders regroupés autour de lui-même et du Cacique Raoni Metuktire, lui donnait l’aura magique d’un super-héros Marvell, la BOUGIE VERTE ECOLOGIQUE SAUVEUR DE PLANÈTE EN PÉRIL dont il rêvait pour sa réélection.
Succès qui lui permit de proposer à Nicolas HULOT un super-ministère de l’Ecologie, que le journaliste refusa avec dédain ! Mais chez FLANBY, tous les comptes se règlent : aussi n’hésita-t-il pas, en cette rentrée 2018, à laisser fuiter dans la Presse son opinion sur le super-écologiste, qui l’avait humilié après les Présidentielles 2017 en acceptant d’être Ministre d’Etat dans le gouvernement de son successeur en attaquant son « égocentrisme » (c’est un expert qui s’exprime !) : « Il n’y a que lui qui l’intéresse ».
Mais dès le lendemain, HULOT venant de démissionner, spectaculaire revirement d’opinion du « guignol exhibitionniste » ; peu soucieux de cohérence ou de contradiction dans ses propos, dictés par l’unique souci de populisme et de démagogie,  sans le moindre égard pour la logique ou l’éthique morale : puisque HULOT met en difficulté son successeur,  désormais, il redevient « personna grata » : « s’il a pensé qu’il n’avait pas les moyens de poursuivre son action et de contrecarrer l’influence de lobbies notamment dans le domaine qui est le sien, il a eu raison ».

Amélie Granville caressa Philae à « La Plume Bleue »

Car si la caravane publicitaire du cirque « Bozzo » a mis deux jours pour se déplacer de Gascogne en Normandie, tant étaient nombreuses les sollicitations et l’enthousiasme de la foule (plus de spectateurs que sur les routes du « Tour de France » d’après La Pompadour), la démonstration de puissance fut grandiose et impressionnante. Son « débarquement de Normandie » s’appuyait sur deux nouvelles séances de dédicace dans des librairies de la Manche, à l’OCEP à OCTEVILLE et à « LA PLUME BLEUE » à GRANVILLE .

 

Et c’est là que le miracle eut lieu car furent déployés au vu et au su de tous les fidèles dans ces lieux de culture populaire toutes les divisions que « l’adversaire de la finance », mais ami des coiffeurs teinturiers – maquilleuses et cireurs de pompes salariés sur le budget de l’Etat – pouvait déployer : sa favorite, Mme de Pompadour  et son chien Labrador offert par les canadiens au Président de la République française, PHILAE, sorti pour l’occasion du refuge où il dépérit habituellement. Cette image simple et tranquille du bonheur familial, bien faite pour réjouir les foules naïves en délire, attira surtout les médias, pour lesquels elle avait été mise en scène. 

Nono, le petit robot

Et puis le soir, à CHERBOURG, la grande rentrée politique annoncée depuis des semaines par fort battage médiatique, destinée à asseoir définitivement sur les rails du succès et de la victoire électorale le « leader maximo » de la gauche de gouvernement, cette gauche molle et sans principe qu’en cinq ans de gouvernement sans partage il était parvenu à éliminer du paysage politique.
Et pour l’occasion, il avait réussi à sortir de sa retraite politique son ancien Ministre de l’Intérieur et dernier Premier Ministre, fidèle parmi les fidèles, le bon Bernard CAZENEUVE, ancien élu cherbourgeois, passé désormais au monde des affaires juteuses, et surnommé par ses propres collaborateurs en raison de sa taille et de son charisme métallique de boîte de conserve : NONO, LE PETIT ROBOT
La foule était présente comme attendu, puisque presque 200 personnes étaient rassemblées après que les quelques fidèles autour de CAZENEUVE aient vidé tous les tiroirs et convoqué le ban et l’arrière-ban des anciens militants ! Il ne sert à rien de s’attarder sur le discours prononcé, car avec la suffisance habituelle qui le caractérise à jamais, BOZZO tint à réécrire l’histoire et réaffirmer  une fois encore combien son quinquennat 2012-2017 avait été une réussite dont l’histoire lui rendrait justice ; et comme d’habitude, à attaquer violemment son successeur, sans jamais le nommer, dans un délire paranoïaque de suffisance irresponsable, taxé de représentant du « libéralisme » ; mais également à prendre à parti son ennemi mortel, taxé de « populiste, Jean-Luc MELENCHON.
Du haut de son Olympe, le « successeur » ne s’abaissa pas à répondre à la bassesse et lâcheté de ces agressions verbales ; dans CHALLENGES, Maurice SZAFRAN le fit pour lui en titrant son article : « De président à opposant : François Hollande ou Monsieur Sans-Gène ». 
Quand à MELENCHON, il ironisa dans un tweet : Les zombies attaquent. #Hollande est revenu ! Tout est perdu pour le PS. Son fossoyeur est de retour.