Souvenir du désastre d’Azincourt

Charles VI et Bozzo I, même combat !
A 600 années d’écart, la comparaison est étonnante ! un roi « fou » et un clown pathétique précipitent leur pays dans les tourments de l’histoire !

Il y a six cent ans, fin octobre 1415, AZINCOURT ; une des plus grandes défaites de l’armée française ; en pleine guerre de cent ans, le pays est déjà dirigé par un fou, Charles VI, comme aujourd’hui il l’est par un Guignol. Une supériorité numérique évidente qui rend impossible la défaite, et pourtant une inadaptation stratégique et une imbécillité tactique qui vont précipiter l’incroyable issue (la fleur de la chevalerie française sur ses lourds destriers, dans la grande tradition franque,  part tête baissée à l’assaut des lignes d’archers anglais qui les clouent sur place (l’utilisation du bois d’if pour la fabrication des arcs avait multiplié la puissance et la longueur des traits) : 6000 chevaliers français exécutés par égorgement ou explosion du crâne à la masse d’arme, contre 13 à l’ennemi.
Encore des décennies de guerre et de malheurs à venir pour les ‘sans dents » et les « sous chiens » ; avec les épidémies de peste noire qui vont ravager le pays le plus puissant, riche et peuplé d’Europe, la population chute de 21 millions à 7 millions d’habitants, comme si aujourd’hui le pays perdait 44 millions d’habitants !!! Etre dirigé par un Fou ou un Clown entraîne toujours la misère et le malheur des pauvres gens ; pour la population, BOZZO a trouvé les solutions : il ouvre en grand les portes du pays à tous les migrants et à la misère de la terre entière. Mais même toute la misère du monde ne veut plus venir tant la réputation du pays de la lumière socialiste est détestable. Sacré BOZZO, il commémore et compatit : à Azincourt, les anglais se battaient pour conserver Calais ; grâce à lui, aujourd’hui, ils n’en veulent plus !
Puis de Lorraine vint une Vierge habitée par une ardente passion et inspirée par sa mission qui sauva le royaume mais en paya le prix fort en périssant brûlée vive sur un bûcher car tel était le sort infligé aux sorcières ; aujourd’hui de Lorraine encore, nous vient l’espoir incarné par une Nadine PUCELLE MORANO (oui, c’est son nom de jeune fille, étonnant non ?) partie en campagne pour sauver l’honneur outragé et sali de son pays, des voix lui rappelant à l’oreille des évidences historiques : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne ! »
Oui, chaque siècle a les héros qu’il mérite 🙂 ; dans la France avachie, lâche, bien-pensante et bobo de Monsieur HOLLANDE, qu’attendre de mieux ?
Mais pour AZINCOURT, qui à part CABREL, génial poète et homme généreux, s’en souvient encore ?