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Gloire à Nicolas DOMENACH, théoricien du journalisme rapproché de combat !

S’il n’a jamais obtenu le moindre diplôme de journaliste, Nicolas DOMENACH a pu faire une brillante carrière dans les médias en utilisant le nom de son père, ancien journaliste de la revue ESPRIT et brillant résistant, qui lui ont ouvert beaucoup de portes dans ce métier.
Mais il est surtout le grand ami de Christophe CAMBADELIS, le célèbre repris de justice, Premier Secrétaire du PARTI SOCIALISTE, avec lequel il a usé ses culottes sur les bancs du lycée et partageaient les mêmes copines dont certaines, très connues encore aujourd’hui, s’en vantent comme d’un fait de guerre, lors de leur période hippie trotskiste-lambertiste.

Homme de gauche donc, il est le représentant officiel de ce parti dans tous les médias auxquels il collabore (MARIANNE – CANAL PLUS avant BOLLORE – i-TELE), devenu gardien très officiel de la pensée unique, héraut de l’antiracisme, l’antisémitisme, combattant contre l’islamophobie,  l’homophobie, défenseur de la noble LGBT, du mariage pour tous, de Najat BELKACEM et Christine TAUBIRA, de la gauche « bobo » des beaux quartiers parisiens et l’actif et inlassable pourfendeur d’Eric ZEMMOUR (au même titre que Jean-Michel APATHIE d’ailleurs, ancien élu socialiste qui en a fait son fond de commerce !) dont il a demandé l’exclusion d’i-TELE et de RTL, médias où ils collaboraient au sein des mêmes émissions.

Mais en tant que représentant officiel du PARTI SOCIALISTE dans les médias, il bénéficie – au même titre que le coiffeur-teinturier présidentiel, sa maquilleuse et ses cireurs de pompe) et toute la domesticité d’avantages matériels facturés aux contribuables français qui le font sortir du statut de simple journaliste courtisan pour l’élever à celui d’Officiel de la République.
C’est à ce titre qu’il figurait dans la délégation du Premier Ministre lors de son voyage en AFRIQUE (personne n’est en mesure d’expliquer pourquoi !).
Contrairement aux « vulgum pecus » des journalistes présents, il bénéficie donc du transport gratuit, ainsi que de l’hôtel et des frais de restaurant et voyage en voiture officielle.

Interrogé sur ce statut très particulier de domestique du pouvoir, Nicolas DOMENACH l’a justifié par son habileté à user des

« techniques du journalisme de combat rapproché » dont il est le fondateur.

Si vous ne le croyez pas, écoutez-le vous-même !

 

Rendons grâce toutefois à Nicolas DOMENACH pour l’enrichissement de la « novlangue » socialiste : transformer l’expression « il mange à tous les rateliers » en « techniques du journalisme de combat rapproché », il faut beaucoup d’imagination pour le faire !